BILAN 2015 - Les jeux finis par Lucien.


Hey mec, à quoi tu joues ?

Alors en 2015, j'ai joué à pas mal de choses, avec globalement beaucoup de bonheur. Ce serait quand même le comble de pas s'amuser en jouant. Voilà à quoi que j'ai joué entre noël 2014 et noël 2015.


1 - Actraiser (SNES)

Pour les besoins de ce test, j'ai branché la Xbox magique, celle qui contient en émulation toutes les consoles de mon enfance et tous les roms possibles (vraiment, presque toutes). J'ai joué et terminé ce chouette jeu, en un dimanche pluvieux, pendant que les enfants faisaient de la peinture. Les boss étaient vraiment costauds.



2 - Aladdin (SNES)

Celui-ci aussi je l'ai terminé pour un test, que je n'ai finalement pas écrit, en fait. J'ai eu envie d'y jouer après avoir vu la vidéo du joueur du grenier, la seule où il parle positivement d'un jeu. C'est parce que je me suis rendu compte de ça que j'ai décidé de ne pas écrire le test, finalement. Le jeu en lui-même était beau et facile. Et beau.



3 - Beatles : Rock Band (PS3)

Avant d'être des attrape-poussière de luxe au coin du salon, la batterie et les deux guitares trouvées d'occas' nous ont bien amusées, mais pas assez pour aller jusqu'au bout de la campagne de ce jeu, qui fait revivre les concerts les plus importants des coccinelles du rythme. Ça a quand même été le premier jeu vidéo touché par mon père, soixante-trois au moment des faits.



4 - Castle of Illusion (PS3)

J'ai acheté celui-ci sur le PSN store pour y jouer avec mon fils, mais les phases de plate-forme étaient trop difficiles pour lui. On l'a terminé rapidement et je me dis parfois quand je scrute mes trophées qu'il ne me faudrait pas grand-chose pour m'y remettre et le compléter à 100%. Mais c'est jamais le bon jour.



5 - Dark Chronicle (PS2)

Je l'ai sorti de sa boîte pour ce test mais j'aurais pu tout autant l'écrire de tête, tellement que j'ai ce jeu dans l'adn. Dix ans pls tard, toujours aussi poétique et prenant. Je ne m'en remettrai jamais. Dark Cloud, l'épisode précédent, est sorti en version améliorée graphiquement sur PS4, j'ai failli vomir de joie rien qu'à l'idée qu'ils puissent faire de même avec celui-ci.




6 - DBZ Budokai (PS3)

Pareil, encore un jeu que j'ai terminé pour en parler sur le blog. J'y avais déjà joué il y a belle lurette, au local enfumé de Dimitri. Ça a calmé ma fièvre DBZ et contenté, sans que j'ai besoin de toucher à DBZ Xenoverse. Pour l'instant.


Ne fus-ce pas le plus beau combat de la saga?

7 - Disney Infinity 2 (PS3)
J'ai passé plusieurs sessions à écumer la toy box, d'abord pour en comprendre l'usage parce qu'elle est laborieuse à manipuler, puis pour fabriquer des petits levels sympas pour les enfants, avec des méchants mais pas trop. J'avais aussi en tête, je l'avoue, de les utiliser pour monter en xp les figurines. Autant les laisser jouer m'aide à monter mes persos de niveau. Plusieurs mois plus tard, on a sorti les figurines de la vitrine pour voir, et en fait, on a testé le mode aventure et c'était vraiment sympa. Je regrette d'y être passé à côté dans un premier temps.


8 - Disney Infinity 3 (PS4)

Magnifiques figurines, chouettes niveaux dans les trois époques de Star Wars, j'ai appris à mon fils comment qu'il faut monter de niveau et réfléchir à son arbre de compétence grâce à ce jeu. Et partir à l'aventure sur les ordres de Merlin dans l'étoile noire en incarnant Starlord aux côtés d'Iron Man avec pour sidekick Robin des Bois le renard Disney, c'est quand même chic.


Le Roi des Ratons-Laveurs.

9 - Donkey Kong Country (Wii)

J'ai pu profiter d'un cadeau en m'inscrivant sur la Wii U et j'ai choisi Donkey Kong Country, le tout premier, celui qu'on pensait qu'il avait repoussé les frontières de la beauté graphique d'un jeu vidéo à son paroxysme. Je l'avais terminé en 1994, j'ai voulu le refaire, en pensant que ce serait aussi simple que torcher un Super Mario Land sur Game Boy. I have never been so wrong, comme disait Thorin Écu-de-Chêne. Je suis coincé au niveau des mines, sur mon chariot qui ne saute pas assez loin.


J'y peux rien, c'est trop loin !
10 - Dragon's Dogma (PS3)

On me l'a sans doute trop vendu comme un jeu époustouflant, alors j'ai été déçu. C'est l'effet "ma blague est trop drôle" : à l'école du rire, on nous apprend qu'il ne faut jamais commencer une boutade en disant "celle-ci est trop drôle tu vas voir tu vas rire". Ca augmente trop les attentes des gens et la blague fait toujours un fiasco. Bref, on m'avait dit qu'il serait super, je m'attendais à ce qu'il soit à Skyrim ce que la méthadone est à l'héro. Je me suis plutôt ennuyé. Même si j'aime beaucoup le principe du jeu, de recommencer le jeu avec son ancien perso comme compagnon.


11 - Fallout 4 (PS4)

Après avoir kiffé ma race sur tous les épisodes de la série, j'attendais le cinquième opus avec joie. Je n'ai pas été déçu, si ce n'est de ma manière de jouer : j'ai tellement voulu connaître le dénouement que j'ai traversé le jeu en courant et dix jours après l'achat, j'avais bouclé la quête principale, sans avoir très envie de reprendre une sauvegarde précédente pour explorer le reste. Ça viendra certainement plus tard.


12 - Fallout New Vegas (PS3)

En prévision dudit Fallout 4, j'ai refait l'intégralité de l'épisode précédent. Si dans le 4 on doit découvrir qui nous a volé notre fils, dans celui-ci, on doit découvrir qui nous a tiré dans la tête. Une ambiance plus poussiéreuse et vilaine.


13 - Final Fantasy 6 (PS1)

Mon premier test de l'année pour ce site. C'était bien.


14 - Final Fantasy 7 (PS4)

Mon dernier test de l'année pour ce site (à paraître). C'était super.


15 - Gauntlet (PS4)
Un rogue-like sans level à nos persos, c'est déroutant. Il y a dix ans en arrière, quand j'ai arrêté de faire des jeux vidéo, le jeu online c'était que pour DAOC ou WoW, alors c'est la première fois que j'ai vraiment joué avec d'autres messieurs en ligne, en leur parlant via ma manette. C'était bien, même si Dimitri faisait que perdre nos vies, mises en communs dans ce jeu. Promis, j'ai pas fait exprès de zapper la cinématique de fin.


16 - Golden Eye (N64)

J'y ai rejoué pour ce test.


17 - Heavy Rain (PS3)

Je l'avais déjà terminé à l'époque de sa sortie, avec presque la meilleure fin possible (les deux héros finissaient pas ensemble, mais je trouvais pas hyper roleplay de coucher avec la journaliste pendant que son fils se noyait). J'ai voulu le refaire pour voir toutes les fins possibles (18 quand même). C'est fait. C'était long. Il me reste des trophées à décrocher, comme tout faire pour que le méchant ne soit jamais inquiété, mais je ne ressens pas la vocation immédiate de m'en occuper.


18 - Hyrule Warriors (Wii U)

Une fois, je suis parti faire du vélo avec mon fiston et je suis revenu avec la Wii U et Hyrule Warriors. Le jeu est très beau, un Dynasty Warriors dans le monde d'Hyrule. Dommage que ce soit payant de jouer avec les boss, ça m'aurait plu.


19 - Jojo Bizarre Adventure (PS3)

Un jeu de combat complètement barré, très sympa et technique en étant accessible. La possibilité de se battre avec un infirme mille fois mieux gérée que le Dr Bosconovitch de Tekken et surtout la possibilité de se battre avec un cow-boy sur son canasson m'ont beaucoup marqué. Plein de couleurs et d'onomatopées pour un jeu auquel je n'aurais jamais touché s'il n'avait été vendu une thune à la Migros.


Johnny Joeystarr le cow-boy infirme en plein combo contre Guy Zeppelin. Welcome to Jojo Bizarre Adventure.

20 - Le Roi Lion (SNES)

J'ai recommencé ce magnifique jeu de 1994 pour les besoins d'un test qui n'est pas encore rédigé. J'y avais joué comme un petit fou fervent amateur des aventures du prince félidé à l'époque, mais je n'avais jamais réussi à finir un des derniers niveaux, celui avec la lave. Mon fils sous le bras, qui connaît par cœur les répliques du dessin animé à cause du livre audio qui tourne en boucle dans la ouature depuis trois ans, j'ai tenté de recommencer le jeu sur m'a Xbox-émulateur. J'ai eu beaucoup de respect pour le Lucien de onze ans qui avait réussi à passer certains moments-clefs du jeu : l'énigme des singes-lanceurs, le passage sur les bouchons (en fait, des troncs d'arbre, mais gamin je voyais vraiment des bouchons de liège, j'étais si candide), les grottes des léopards… Je n'ai pas pu terminer le jeu, vaincre ma némésis enfantine. Quand j'y arriverais, j'écrirais un chouette test.


21 - Lego Dimensions (PS4)

Le bon Dimitri m'avait dit de ne pas y toucher, que c'était mal fichu et décousu. Adepte des Legos et des jouets vidéo, j'ai quand même craqué, un soir d'hiver. Sans l'avoir encore terminé, j'ai complètement accroché au principe de construire des legos dans la vraie vie pour y jouer sur l'écran, puis de les transformer en vrai grâce aux explications en jeu. De base, on peut contrôler Gandalf, Batman et Cool Tag (issue du film La Grande Aventure Lego) et l'aventure nous entraîne dans des dizaines d'univers dont l'entreprise Lego a acheté les droits : Marvel, DC, le monde d'Oz, du Seigneur des Anneaux, des Simpsons, de Retour vers le Futur, de Chima, Jurassic Park, Portal, Docteur Who, Scooby-Doo, mais aussi le far-west, le moyen-âge… Bref. Si on accepte de faire monter Gandalf dans la Batmobile pour échapper à l'Indominous Rex, on s'éclate bien. Ce fut mon cas.


Marty McFly pourchassé par la méchante sorcière de l'ouest, sous les yeux terrifiés de Gollum. Lego Dimension in a nutshell.

22 - Lego: Le Hobbit (PS3)

Mon premier jeu Lego, entièrement parcouru puis nettoyé à 100% avec mon amoureuse (son interview est ici), j'ai été étonné en bien de ce que ce jeu m'a proposé. Au final, même si c'est représenté avec des persos en briques dans un environnement en briques, on se retrouver à choisir parmi tous les personnages de la saga à accomplir des quêtes, des aventures et des mini-jeux librement dans les Terres du Milieu. Avec sa copine, c'est encore mieux. D'excellents moments.


23 - Lego: Le Seigneur des Anneaux (PS3)

Grisés par l'accomplissement du Hobbit précédemment cité, nous sommes partis pour faire de même avec celui consacré à la trilogie de 2001-2003. Après avoir terminé le jeu en huit heures environ, nous nous sommes lancés dans la recherche de tous les objets, tous les secrets, bref, le clean-up. Et un trésor au niveau de Shelob s'est buggé. On a tout tenté pour infléchir la courbe de cet impétueux destin qui mets des bâtons dans les roues de notre course aux trophées. En vain. Alors on a laissé tomber.


24 - Lost World (PS1)

Dimitri m'a donné un jeu de merde à terminer. C'est le principe du shit test, Lost World était le premier d'entre eux.


25 - Mario Maker (Wii U)

Je ne savais pas comment initier les enfants à Mario 2D. Le premier était trop difficile pour ces padawans habitués aux écrans tactiles et aux jeux gratifiants, le second et le troisième trop complexes pour l'instant. Nintendo a pensé à moi et m'a donné la possibilité de façonner mes propres niveaux Mario. Le rêve. J'ai pu fabriquer des niveaux infernaux ou relativement ingénieux à envoyer au monde entier et des niveaux sans trop de sauts périlleux ou d'ennemis retors pour les gosses. Qui en retour m'en ont fabriqués. Et pareil avec les copains, les cousins : se défier avec nos propres niveaux, c'est quand même génial, comme idée. Un excellent jeu, très facile d'accès, simple mais prenant et sans fin.


26 - Order 1886 (PS4)

Bradé sur le PSN Store, j'ai tenté l'aventure proposée par Order 1886, qui me semblait somptueux graphiquement. J'ai découvert pendant le téléchargement les critiques terribles à son égard, des joueurs ou des journalistes qui lui reprochaient sa faible durée de vie et la trop grande présence de cinématiques, un mensuel allant même jusqu'à lui offrir le titre de pire exclusivité 2015. N'empêche, il était tellement superbe que je l'ai fait, de fond en comble, du début à la fin. La modélisation des personnages est incroyable de réalisme (non mais vraiment incroyable), chaque décor, chaque scène, chaque perso est animé à la perfection. J'ai terminé le jeu en une dizaine d'heures, en recommençant plusieurs fois certains passages et je me suis plutôt bien amusé, sans être adepte des gears-of-war-like. Je suis donc très étonné par les critiques déchaînées qui se sont abattues sur ce soft. C'est court, c'est vrai. Mais il y a bien pire. Et des cinématiques de cette qualité, j'en veux bien des centaines dans tous les jeux. Forcément, l'expérience proposée est particulière et on assiste à un long film dont on gère les scènes d'action. C'est finalement ce parti-pris du studio de développement qui a dû déplaire aux joueurs et aux critiques habitués au FPS moins scénarisés et mis en scène.


Jouer à ce jeu, c'est s'octroyer des caresses pour les yeux (Oscar Wilde).

27, 28, 29 - Pokémon Rubis, Saphir et X (3DS)

Après avoir terminé l'épisode Y en 2014, avec mon fiston (encore !), j'ai volontairement acquis les autres épisodes de la dernière génération, pour compléter notre pokédex le plus possible. On peut considérer que j'ai complètement craqué, je m'en rends compte. J'ai probablement passé une centaine d'heures sur ces jeux, sans compter le temps passé à gérer mon stock de pokémons dans la banque pokémon online où on peut les entreposer virtuellement et se les passer d'un jeu à l'autre. Je n'ai pas complété l'überpokédex qui reprend tous les pokémons sortis sur tous les jeux, mais j'ai trouvé tous ceux présents sur les versions X et Y. It's something, comme disent les jeunes. Enfin, certains jeunes. Je crois. Quelque part. Ça doit bien s'utiliser quelque part.


Pandabarbare, mon premier level 100 dernière génération (coeur avec les mains).

30 - Pokémon Stadium (N64)

Encore un jeu joué pour un test pas écrit, en compagnie de mon héritier. Le test viendra, quand j'aurais trouvé un expansion pack qui lit les cartouches Game boy.

31 - Resident Evil (PS3)

J'ai traversé d'un pas rapide le portage HD du tout premier Resident Evil, non sans éprouver beaucoup de nostalgie en arpentant le célèbre manoir de Racoon City. Un pas rapide, car je souhaitais terminer le jeu en moins de cinq heures et obtenir le magnum infini. J'aurais dû vérifier cette information avant, car j'ai réussi mon coup, mais le magnum ne s'obtient pas en difficulté "facile". Sympa, très sympa quand même. Il faut que je le fasse avec Chris, pour un futur test.


I hope this is not Chris's blood.

32 - Star Wars Battlefront (PS4)

Offert en bundle avec la console, j'y ai joué quelques parties multi avec l'ami Dimitri, mais pas assez pour en faire un test ou en avoir un avis défini.


33 - Super Smash Bros (Wii U)

La découverte de l'année. Je ne connaissais pas cette série, je l'ai eu avec la console et c'est le jeu sur lequel j'ai passé le plus d'heures cette année. Mais jamais seul : avec des copains ou des enfants. Le principe, c'est des combats-foutoirs entre une quarantaine de persos nintendo (ou pas) : la famille Mario, Ryu de Street Fighter, Kirby et son boss, Sonic, une sélection de Pokémons, Shulk, les héros de Fire Emblem, Megaman, Pacman, Mr Game & Watch, le chien de Duck Hunt, Link et Ganondorf, Zelda et Sheik, et j'en oublie des tas. Plusieurs modes de jeu très sympas (combat libre, combat en équipes, combat à huit participants, combat en ligne contre des coréens invincibles, jeu de plateau, mode survie, combat contre tous les persos, mini-jeux…). Avec, surtout, un gameplay très accessible, mais exigeant si on veut le maîtriser : deux minutes pour comprendre comment jouer, des heures pour le maîtriser un brin. Et chaque perso est très différent et se joue d'une autre manière. Magnifique.


(Star)Fox contre Mewewo sur l'arène de Punch-out.

34 - Walking Dead (PS Vita-PS4)

J'ai terminé une seconde fois la première saison de ce très beau jeu, et dès que j'ai fini la deuxième et dernière saison, je m'attelle au test y relatif. Mais si vous lisez cette phrase et que vous n'y avez pas encore joué, faites-le.


Clém-en-tine, quand tu fermes les yeux, tu de-vi-nes le merveilleux...

35 - X-COM (PS3)

J'ai re-fini ce jeu pour ce test.

Lucien

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